« Les gens ont besoin de travailler et de vivre », explique Ogo Seck, professeur de sciences politique à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis. Il estime que le « calme relatif » actuel est également un premier acquis de la médiation des chefs religieux auprès des différentes parties.
« Il y a aussi des entrepreneurs privés et des personnalités de la société civile qui tentent de rapprocher les points de vue », souligne Moussa Diaw, qui enseigne également les sciences politiques à l’UGB. Selon lui, la retenue des différentes parties est liée à ces initiatives en cours, menées dans la plus grande discrétion et dont « on attend les effets. »



